Votre prévention contre la radioactivité
Deux éléments de prévention sont importants :
– notre état d’esprit et notre sérénité
– un complément « léger » et naturel d’iode non-radioactif
Votre état d’esprit
Face aux grands problèmes de société, aux guerres, aux épidémies et aux famines, les premiers morts sont toujours les plus stressés. Prenons l’exemple des famines : nous avons tous des réserves suffisantes pour ne pas manger pendant plusieurs semaines et même plusieurs mois. Or dès les premiers jours, certaines personnes décèdent de la peur du manque. La force du mental est colossale dans les situations de grandes catastrophes.
Donc même en cas d’accident nucléaire, restez calme. Évitez les paniques inutiles qui font mal. N’écoutez pas en boucle les médias qui distillent une angoisse certaine, à force de dire et redire. Informez-vous puis éteignez la télévision ou la radio, et recentrez-vous sur votre capacité à être paisible. Plus vous resterez serein, plus vous augmenterez votre capacité à rebondir dans votre esprit et votre corps.
Vos pensées ont une importance subtile et capitale sur votre corps. Des ruminations perpétuelles dans un mental stressé crée un stress du corps dont les défenses naturelles s’affaiblissent. Un corps stressé amplifie les effets négatifs reçus.
La meilleure prévention se trouve d’abord en vous. Continuez à bien vivre au lieu de restreindre votre vie par des peurs.
– Soyez calme et respirez profondément.
– Restez actif. Faites des exercices, de la marche, du yoga ou du sport… comme d’habitude ou même plus que d’habitude si cette pratique physique vous détend l’esprit.
– Entretenez le plaisir de manger, même si quelques radiations nouvelles ont infiltré l’air que vous respirez ou les aliments que vous mangez.
Sachez que vous n’êtes pas plus en danger qu’avant les problèmes liés à la centrale Fukushima.
Prenons maintenant le cas de la radioactivité. L’excès de radiations n’est certes pas ce qu’il y a de mieux sur notre planète mais notre corps a la capacité de réagir sur de faibles doses. Même non accidentée, une centrale nucléaire en bon fonctionnement fait monter le seuil de radioactivité d’une région. Nous y sommes donc habitués depuis belle lurette. En gardant en tête la distance qui nous sépare du Japon, tâchons surtout d’éviter la panique dans une situation qui n’est pas nouvelle !
Un complément « léger » d’iode non-radioactif… pour éliminer l’iode radioactif
Il est inutile de céder à la panique et de se ruer sur les comprimés d’iode. Les doses sont tellement fortes que leur prise n’est recommandée qu’en situation de forte radiation et jamais sans risque. En avaler un lors de faibles irradiations, c’est en revanche faire courir de très gros risques à votre organisme.
Par contre un apport modéré d’iode non-radioactif peut bloquer l’iode radioactif. Dans la situation actuelle en France, c’est largement suffisant. Beaucoup d’aliments contiennent de l’iode.
L’huile de foie de morue possède 850 microgrammes d’iode pour 100g : il s’agit là d’un taux exceptionnel. Mais le haddock et le saumon sont aussi de grands pourvoyeurs d’iode. Par plaisir et pour trouver ce précieux iode naturel, usez et abusez des plateaux de fruits de mer (huîtres, coquillages, langoustines, crabe).
Dans le monde végétal, certaines algues sont exceptionnellement chargée en iode de qualité.
– D’abord, l’algue Kombu, mais au lieu de la choisir venue du Japon, choisissez-la de souche bretonne, la laminaria digitata.
Il existe également des wakamés, venue de Bretagne.
La palmaria palmata, appelée aussi Dulse, est très sympathique en paillette à mettre dans une salade ou à saupoudrer sur une céréale ou sur de la viande.
L’algue noire nori (celle que vous voyez autour des sushis) en plus d’être l’algue la plus protéinée, est aussi généreuse en iode.
Enfin, pour les japonais, l’agar-agar, est un must contre les ondes radioactives.
Certains légumes à un degré moindre sont très intéressants : le chou vert ou rouge (c’est la saison en ce moment, profitez-en), les épinards, le cresson… Quelques céréales, comme l’avoine, mais aussi le seigle apporteront leur quota d’iode.
Les aliments pourvus de pectine protègent aussi des méfaits de la radioactivité : le soja sous toutes ses formes (tofu, miso, tekkha, tempeh, …). De plus on retrouve dans le miso, la zybicoline hautement protectrice.
Enfin, le plus simple de tous à trouver et le moins cher : au lieu de prendre du sel raffiné de table, consommez du sel complet, tel que le sel de Guérande.
• Huile de foie de morue – 830mg d’iode pour 100g.
• Aiglefin – 300mg d’iode pour 100g.
• Saumon – 240mg d’iode pour 100g.
• Langoustine – 130mg d’iode pour 100g.
• Kombu – 74 mg d’iode pour 100g.
• Huîtres – 50mg d’iode pour 100g.
• Dulse – 40 mg d’iode pour 100g.
• Wakame – 25 mg d’iode pour 100g.
• Nori – 16mg d’iode pour 100g
• Fromage – 1 à 5mg d’iode pour 100g.
• Sel iodé – 1,5mg d’iode pour 100g.
• Lait de Vache – 1mg d’iode pour 100g.
Attention – Les apports en iode sont à bannir en cas d’allergies ou de certains traitements notamment d’insuffisance thyroïdienne.
Alain Delaporte-Digard pour www.sereni.org
Pendant ses nombreux tours du monde, Alain Delaporte-Digard a développé une connaissance de l’être dans sa globalité, une compréhension du fonctionnement du corps et de ses blocages, un savoir-faire amenant au savoir-être.
Il a créé avec sa femme Josiane une méthode pour réguler les flux dans le corps, la bioRégulation. Il continue à créer des SPA dans le monde entier (Giorgio Armani à Tokyo, le nouveau paquebot France, …, SPA en Azerbaidjan et au Maroc en cours)
Alain consulte dans son cabinet
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